La surcharge d’information
À quel point la surcharge d’information vous affecte-t-elle ?
Les médias sociaux sollicitent notre attention de manière continue, nous exposant à une grande variété de contenus et d’idéologies.
De récentes méta-analyses quantitatives sur le sujet confirment que notre degré de surcharge d’information :
➔ Est directement associé à notre niveau de stress, d’anxiété et d’épuisement professionnel.
➔ Réduit également de manière significative la performance individuelle, la capacité de prise de décision et la confiance dans le lieu de travail, en plus d’interférer dans l’équilibre entre le travail et la vie privée.
➔ Ne semble pas être directement liée à notre état de santé physique et notre décision de quitter un emploi (roulement de personnel).
Il semble être beaucoup plus productif de réduire notre exposition à l’information que d’essayer d’améliorer nos capacités d’adaptation et d’absorption. Mieux choisir nos sources, leur appliquer des filtres et se réserver des périodes d’exposition à notre agenda semblent de meilleures pratiques pour aider à éviter la surcharge tout en demeurant bien informés.
J’ai personnellement choisi d’adapter certaines de mes habitudes:
◆ Pendant les heures de travail prédéfinies, je ne regarde pas mes messages texte, mes notifications, mes fils de discussion et mes courriels. J’évite même certains appels afin d’améliorer ma concentration et ma productivité.
◆ Je suis également très sélectif dans mes sources de recherches et d’information et je ne suis pas sur toutes les plateformes sociales.
Certains adeptes du FOMO (“Fear Of Missing Out”) trouveront peut-être cette approche frustrante. Elle permet pourtant d’améliorer considérablement sa concentration, sa productivité ainsi que sa qualité de vie.
Et vous, que faites-vous pour éviter la surcharge d’information ?
Prenez soin de vous !
Éric